Le web 2.0

Plugs
Le web 2.0 désigne un web plus simple et interactif. Il s’agit d’un web plus évolué, axé sur le web social et qui permet désormais à l’internaute de devenir une personne active sur le net.

Un accompagnement à la carte

MP6 – L’Agence Digitale dispose d’une cellule de veille pour suivre constamment les évolutions du web. Le Web 2.0 et bientôt le web 3.0 ont marqué l’émergence de nouvelles pratiques et de l’avènement du contenu.
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Nos consultants et chefs de projet accompagnent plus d’une centaine de clients dont l’activité repose tout ou partie sur le web. Jour après jour, nous accompagnons les ambitions d’entreprises de tous secteurs afin de leur permettre d’être visibles et efficaces, malgré les évolutions régulières imposées par les moteurs de recherche. Vous disposez d’une équipe dédiée de consultants et d’un accompagnement sur mesure.

Web 2.0 : apparition de l’expression

À l’origine, le web était une structure dédiée aux éditeurs de sites. L’internaute ne faisait que consommer l’information qui lui était envoyée sans possibilités d’interaction avec les autres utilisateurs.

De nouvelles fonctionnalités

Ce n’est qu’à l’arrivée du web social et du web 2.0 que l’appropriation des nouvelles fonctionnalités du web est devenue plus simple. L’internaute peut désormais échanger des informations et interagir avec d’autres internautes ainsi qu’avec les pages qu’il visite. Cette évolution du web facilite les échanges, le crowdsourcing et la création des premiers réseaux sociaux. Ainsi, si les sites web traditionnels représentaient initialement les principales cibles des portails web, le web 2.0 est quant à lui axé sur l’utilisateur. Les possibilités offertes par le web 1.0 sont améliorées à travers le nouveau web tandis que de nouvelles interfaces ainsi que de nouveaux logiciels font également leur apparition.
Ce changement s’accompagne d’une évolution des pages qui se dotent désormais d’effets graphiques plus aboutis et qui permettent à l’internaute de devenir acteur du web à travers les blogs ou les wikis. L’expression web 2.0 voit donc naturellement le jour pour désigner la nouvelle forme du web. C’est Dale Dougherty, vice-président de la société O’Reilly Media, qui est le premier à en faire usage dans une conférence intitulée What is Web 2.0 présentée en 2004. Au lieu de définir cette expression, il s’était alors contenté de présenter quelques exemples des évolutions du web : Google AdSense représente le web 2.0 tandis que DoubleClick est apparenté au web 1.0. Flickr désigne également le web 2.0 à l’inverse de Ofoto qui désigne quant à lui le web 1.0.

Des technologies et applications plus riches

Bien que le web 2.0 soit doté d’une infrastructure évolutive et complexe, il comprend toujours certains éléments du web originel. Il inclut entre autres des outils et solutions de serveur, des protocoles servant à la messagerie, de la syndication de contenu, des outils de navigation standardisés, mais également diverses applications clients. Dans ce dernier cas, il est à noter que les plug-ins ne correspondant pas aux standards du web sont évités. La structure du web 2.0 offre de plus importantes possibilités de stockage, mais également de meilleures possibilités de partage et de création. Un site qui relève d’une approche web 2.0 privilégie ainsi le CSS, le balisage XHTML, l’architecture Ajax, la syndication ainsi que l’agrégation de contenu RSS, la classification en catégorie par étiquetage, les services web XML et l’utilisation convenable des URL. L’utilisation de techniques d’application Internet riches a permis d’améliorer l’expérience utilisateur. L’architecture Ajax utilisée dans une application web offre par exemple la possibilité de mettre à jour un contenu sans actualiser la page entière par l’intermédiaire d’un échange d’informations entre le serveur et le client. L’utilisation de protocoles standardisés comme RSS, Atom ou RDF a quant à elle permis un nouvel usage des informations contenues dans un site : l’internaute peut aisément passer d’un site web à une application de bureau ou d’un site web à un plug-in de navigateur. Enfin, on peut également parler de l’étiquetage ou l’apparition de mots-clés destinés à améliorer la recherche sémantique. Il s’agit d’associer un texte à des expressions afin de faciliter la recherche de contenus.

Les protocoles du web 2.0

L’infrastructure web 2.0 dépend en grande partie des protocoles de communication web : le Representational State Transfer-REST et le SOAP. Le REST désigne un procédé d’échange et de manipulation d’informations à l’aide des verbes HTTP get, post, put et delete. Le SOAP est un protocole consistant à poster sous forme de requêtes XML un ensemble d’instructions à exécuter par un serveur. Une API ou interface de programmation définit les accès aux services dans les deux cas bien que l’interface soit souvent propre au serveur. Avec l’avènement du web 2.0, on voit cependant l’émergence d’interfaces de services web standardisées et impliquant une transaction sous forme XML. C’est par exemple le cas des solutions servant à poster sur un blog. D’un autre côté, le WSDL est également apparu comme un standard de publication des interfaces de services web. Avec la croissance générée par les NTIC, le web 2.0 est par ailleurs devenu un véritable enjeu économique. Il a permis à de nombreuses entreprises de s’enrichir rapidement à l’image de ce qui s’est produit au lancement du web. Le cas le plus flagrant reste sans aucun doute celui de Mark Zuckerberg qui est devenu milliardaire grâce à Facebook et son milliard d’utilisateurs. On peut citer de nombreux cas où l’enrichissement à l’aide du web 2.0 s’est fait en un temps record. Ce sont toutefois souvent les agences de publicité online ainsi que les réseaux sociaux qui ont su profiter de cette évolution.

Nomenclature du web 2.0

Avec le web 2.0, différentes appellations sont apparues pour décrire les évolutions du web depuis ses origines jusqu’à aujourd’hui. Certaines d’entre elles présentent le futur du web même si quelques-unes ont été créées à des fins humoristiques. Par exemple, le web 1.0 désigne le web statique ou les contenus étaient pour la plupart figés. Il faut attendre le web 1.5 pour voir arriver à un web dynamique puis le web 2.0 pour que le web social et participatif voie le jour. Le web 2.1 et le web 2.5 désignent respectivement les améliorations qui feront prochainement leur apparition. On peut également évoquer le web Squared, étape entre le web 2.0 et le web 3.0, qui présente le web comme un ensemble d’informations et qui traduit un développement accéléré et non linéaire du web. Vient ensuite le web 3.0 qui désigne la prochaine évolution du web. Celle-ci n’est pas encore définie de manière précise, mais la plupart des utilisateurs s’attendent à un web sémantique ou à un web des données. Les autres affirment que cette évolution sera le Web3D soit les contenus présentés en 3D interactive et intégrés au sein de pages HTML. Au-delà du web 3.0, il est difficile de définir avec précision ce que sera le web bien que l’expression web 4.0 ait déjà vu le jour pour désigner le travail réalisé à l’aide d’outils en ligne ainsi que le web symbiotique.

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